Côté cigales...

Jacques était un journaliste qui travaillait à Paris il y a cinq ans. En même temps, sa petite amie qui s’appelait Zoé, elle faisait ses études en Master à la Sorbonne. Ils avaient une bonne relation et se préparaient à se marier plus tard. Jacques aimait beaucoup Zoé.

En 2004, la veille de Noël, Jacques aurait une interview à New York. Il a dû aller aux Etats-Unis tout de suite. Zoé lui a donné un cadeau, c’était une montre de poche, il y avait une photo de Zoé. Jacques était très content. Ce soir-là, il est sorti en prenant l’avion.

Mais, à cause de la tempête, son avion a eu un accident sur l’océan Pacifique et puis est tombé dans la mer. Heureusement, il a flotté jusqu’à la côte. C’était une île isolée… Après, il a bu du lait de coco et mangé des poissons. Il a attendu le sauvetage jour après jour… Mais cette île était très loin de la ligne de navigation, pendant trois ans, personne n’a pu le retrouver. Malgré nombre de difficultés, il a eu le courage de vivre.  Il regardait tellement la photo de Zoé chaque jour.

Encore un an après, il a fabriqué un petit bateau en utilisant les arbres. Il a commencé à flotter sur la mer et désiré être trouvé par quelques paquebots. Finalement, il a été trouvé et est rentré à Paris.

Le deuxième jour, il est allé chez Zoé, mais il a trouvé qu’elle s’était déjà mariée avec un autre homme depuis trois ans et plus tard ils avaient eu une fille. Comme tout le monde avait trouvé que Jacques était déjà mort, ses amis avaient persuadé Zoé de se ranimer et lui avaient présenté cet homme.

Jacques était très triste, Zoé aussi, mais ils ne pourraient jamais changer cette situation. En fin, Jacques est sorti et a commencé sa nouvelle vie sans Zoé. 

J'adore jouer tous les rôles devant l'objectif.

J'aime beaucoup être adoré par des peuples.

J'aime bien fumer quand je pense.

Ce qui me plaît le plus, c’est la F1.

Je suis ravi d'écouter de la musique classique.

Je suis contente de jouer à golf.

La fête du cinéma, c'est ce que j'aime ça plus !

Je n'aime pas les interviews fréquentes.

Je déteste manger les nourritures grasses.

Je n'aime pas beaucoup voler de l’argent. 

Ce matin, j’ai été réveillé par le silence. J’ai vu que les ouvriers travaillaient, mais je n’ai rien entendu. Mon âme a quitté. J’étais vaine. Il y a 5 mois ! Il y a 5 mois. Je n’ai pas rencontré mon chéri depuis la dernière querelle il y a 5 mois. « tingting »

J’ai décidée de ne pas se penser et de préparer ma vie nouvelle. Et plus, je s’ai demandé de divorce. Il m’a quitté et n’est plus retour. Je vis toute seul depuis longtemps. Jusqu’au 20 octobre, ce jour là, j’ai été surprise qu’Edith qui était ma meilleure amie frappe à ma porte à sept heures. Je me suis levée et écoutée ses paroles avec ses yeux mi-clos. « nannan »

Elle parlait, pleurait, riait. Son mari a commencé son truanderie avec son chien. Il semblait qu’ils vivaient mieux. Edith ne pouvait pas endurer une douleur si immense. Son mari préférait la vie libre que la vie confortable et empêtrée. Donc il a choisi la quitter et abandonner sa famille.

Mais mon chéri, je ne pouvais pas accepter ton départ. Je t’ai donné la liberté, l’amour, sinon la souffrance.

Personne m’a dit pourquoi… « tingting »

La vie

Un bébé dans le printemps

Un enfant dans l’été

Un adulte dans l’automne

Un vieillard dans l’hiver

Le printemp est plein de la couleur rouge et du sourire

L’été est plein de la couleur verte et de la passion

L’automne est plein de la couleur orange et de l’intelligente

L’hiver est plein de la couleur blanche et de la tranquillité

Soit moi, soit toi

C’est la vie

Cette chanson me faire souvenir de un événement important et douloureux à l’année dernière en Chine. C’est un moment que tous les chinois ne peuvent oublier pas.

14h28

12-05-2008

Wenchuan

Une commotion.

Un silence.

Beijing

Je me suis réveillée à cause de la secousse. A ce moment-là, je ne savais pas ce qui se passait. Mais, je suis devenue un peu nerveuse. J’ai senti que certainement quelque chose s’était passé. Comme d’habitude, j’ai ouvert mon ordinateur et je me suis mise à lire des nouvelles.

J’ai respiré. Rien.

Donc, j’ai commencé à jouer sur internet. Quinze minutes ont passé. Soudain, une nouvelle est aperçue ! Il y avait eu un séisme à Wenchuan. La magnitude était de 8 !! Je ne le croyais pas.

Moi, non ! Tous les chinois ont été étonnés par les chiffres changeant continuellement

2 000

5 000

20 000

25 000

… …

J’ai murmuré « arrête ! » « Arrête ! ». « S’il vous plaît, mon dieu, arrêtez ! »

‘C’est vrai ?’ . Je me suis demandée une fois encore une fois. Oui, j’ai cru jusqu’à ce que beaucoup d’images, vidéos ont frappé mon regard. J’avais peur de continuer à regarder la télé, les nouvelles…

17-05-2008

Le chiffre de décès a été vérifié. C’était 69 225 !

Wenchuan

C’était une image que je ne pouvais pas décrire.

Beijing

Même si on a chaviré de douleur, on doit se montrer inflexible. On a commencé à recueillir des fonds, des vêtements, des affaires, tout le nécessaire de la vie pour les aider.

14h28, la même heure de la semaine dernière. Tous les étudiants se sont rassemblés au dessous des drapeaux nationaux pour observer trois minutes de silence à la mémoire des gens qui étaient morts dans le séisme. Tous les conducteurs ont klaxonné trois minutes pour exprimer leur affliction.

Aujourd’hui

Grâce aux aides du monde, non seulement les logements mais aussi les cœurs des gens ont reconstruits.

Le séisme, c’est une épreuve. Persister jusqu’à la fin, on va réussir.

∆ Cabinet de Mont Huangshan

Avec ma maman

On s’enroulait dans une couverture. Notre voisine pensait que j’étais un garçon quand j’avais 12ans...

∆ Bus de banlieue au centre ville

Avec mes camarades de lycée

Ce jour-là, après une formation de survie désert à la campagne, on a mis 7 heures pour rentrer à la maison parce qu’il y avait une embouteillage dans toute la ville à cause d’une tempête de neige.

∆ Aéroport Suvarnabhumi de Bangkok

Avec ma maman

Cet hiver-là, frissonnantes, on portait nos manteaux, se souvenait de la mer, des plages, quand on attendait l’avion le matin du retour à Pékin.

∆ Train pour aller à Lijiang

Avec mes camarades d’université

On a joué aux cartes en bavardant. Les lumières étaient brillantes cette nuit-là. C’était la première fois que je prenais la place assise, pas une couchette, mais c’était la dernière fois que j’ai fait ça. Après 10 heures de voyage, mes professeurs m’ont dit qu’ils avaient pensé que j’étais malade à cause du manque de sommeil.

∆ L’avion d’airfrance

Avec une amie. On s’est rencontrée pour aller en France ensemble.

Pendant le voyage, j’ai dormi 10 minutes seulement même si j’ai bu 3 bouteilles de vin rouge!!

∆ terrain de sports

Avec des collèges d’université, 20000 personnes

Le 12 mai 2008, à la province de SiChuan, il y a eu un tremblement de terre.

Quand j’ai quitté le bâtiment, j’ai vu que la terre tremblait comme des vagues de la mer. J’étais tellement excitée quand j’ai téléphoné à ma maman. Mais ensuite, personne ne pouvait téléphoner à cause des tours de transmission qui étaient tombés...

Pas d’eau, pas d’électricité, pas d’information, des aliments étaient épuisés. De 15h à 20h, on a attendu seulement des instructions de l’ université. À 21h, il a été permis d’entrer dans les chambres et de prendre des literies pour dormir à l’ extérieur, personne ne savait s’il y aurait des tremblements de terre encore ( En fait, les répliques n’ont pas arrêté pendant 3 mois)...

Cette nuit-là, nous, les étudiants en architecture nous sommes assis dans un terrain de tennis en écoutant la radio. Certains étaient tristes des nouvelles : Le nombre de morts et de blessés de chaque ville était élevé, les médecins et l’armée ne pouvaient pas arriver car des rues avaient été détruites...

À 3h du 13mai, il a fait une pluie torrentielle, le tremblement de terre toujours suit le mauvais temps. On n’a rien dit, on s’est enroulé seulement dans les couvertures mouillées, assis dans des cabanes, sur des chaises froides.

Je n’ai pas eu peur, j’étais tellement peinée.

On a attendu le lendemain mais il n’y avait pas de soleil, on n’avait pas de logement...

1..12.05.2008 au terrain de sports;

2..Il a fait une pluie torrentielle;

3..Nous avons fait un don des literies et d'argent

Une petite fille qui tient un ballon est sur une pelouse, tout à coup, le vent chasse le ballon, la petite fille veut le rattraper, elle court avec le ballon, après il est coincé sur un grand arbre. Au-dessous de l’arbre, elle voit un petit garçon qui est en train de creuser un trou, il voit le ballon, il aide cette petite fille à prendre. À la fin, les deux enfants qui asseyent sur une grande  branche chantent une chanson.

Ce matin, j’ai été réveillée par le silence. J’ai eu un mauvais pressentiment. Pour me calmer, je me suis promnée dans ma ville. Je me suis assise sur un banc. Mais, je m’étais sentie déprimée pendant longtemps. Après mon repos, je suis rentrée chez moi.

J’écoutais de la musique et j’ai commencé à faire le ménage. C’était dimanche, aujourd’hui. Je n’avais pas besoin de sortir pour travail. Puis j’ai préparé le déjeuner et je l’ai pris. Cet après-midi, j’ai visité mon amie Juli. Nous nous bavardaient  chez elle. Elle m’a raconté ce qui sétait passé pendant ses voyages. Elle a pris ses voyages à Paris avec son mari. Ils ont visité beaucoup de musées et ils ont regardé les monuments aussi. Ils ont pris cinquantaine photos qui étaient très jolis. Ils se sont promenées au lond de la rivière. Donc, ils y ont passé un temps magnifique. Puis elle m’a donné un beau dîner. Et je m’étais senti content à ce moment-là.

Ensuite, je suis partie chez elle à 11h. Ce matin, j’ai eu un mauvais pressentiment, mais j’ai passé une journée habituelle. J’ai pris le métro et je suis arrivée chez moi  à 11h30m. Quand j’ai ouvert la porte, j’ai regardé la main de quelqu’un à fenêtre. Je me suis étonée beaucoup et j’ai applé la police tout de suite. J’ai pensé que le voleur se serait échapper, donc je l’ai pincé de moi-même. Alors, il’était mon fils !! J’ai ouvlié qu’il est revenir chez moi aujourd’hui.

Ce matin, j’ai été réveillée par le silence, comme d’habitude, je me suis levé, j’ai pris le petit déjeuner. Après avoir pris le petit déjeuner , je suis sortie. Je me suis assise sur le banc(Wei) c’était une chose unique que je répétais tous les jours, après que j’ai perdu mon travail. Je regardais le lac, le vent soufflait, je me sentais froide. Je n’étais pas contente depuis longtemps. J’espérais qu’il y aurait des personnes qui passeraient devant moi et puis me demanderaient: ‘‘Est-ce que vous avez besoin d’un coup de main ?’’ Mais, jamais...(DI)

Je me suis redressé, j’ai marché lentement, je suis passé devant un clown, comme à l’ordinaire. Tout à coup, j’ai entendu qu’il me parlait: «Madame, Madame...» puis, je me suis arrêtée, j’attendais ce qu’il dirait.

• Madame, vous êtes triste toujours, pourquoi?

• J’ai perdu mon travail.

• Mais, vous avez des vêtements, vous avez une famille heureuse, en fait, vous ne manquez de rien, vous pouvez chercher un autre travail, n’est-ce pas? Il y a beaucoup de personnes comme vous , mais ils sont encore optimistes...

Après, ce clown m’a invité à son show, au cours du show, il semblait que j’ai compris des choses.(Zhihan) J’ai décidé de chercher un travail, je n’étais plus affligée.

Deux semaines plus tard, j’ai été embauchée par une grande entreprise.

("Gymnopédie 1" d'Erik Satie) C'est une simple et calme musique de piano sans grande fluctuation et sentiment, mais elle me va droit au cœur.

Elle me rappelle la vie où je restais chez un frère de ma grand-mère. Ils habitaient au village qui était dans une région montagneuse. L'environnement était loin de la clameur citadine. Les gens qui y habitaient étaient très gentils. L'air était frais. Comme il n'y avait pas d'Internet, je ne pouvais pas consulter d'informations ni bavarder avec mes amis sur Internet. J'avais plus de temps pour prendre contact avec la nature. Au petit matin, je me levais plus tôt que chez moi. J'étais réveillée par le chant du coq qui remplaçait le réveille-matin. Et puis, je gravissais des montagnes ou courais autour du village. L'après-midi je m'assoyais sur une chaise dans la cour de devant et lisais un roman. C'était le plus heureux moment pour moi. Le soir, je me couchais aussi tôt. La vie était plus simple que celle de la ville. J’étais de la même bonne humeur que celle avec laquelle j'écoute cette musique maintenant.